domenica 19 aprile 2015

Autour de Rome: à la découverte de Via Dei Banchi Vecchi, parmi des œuvres d’art et Sainte Lucie

Quello che c'è di bello nelle ultime piogge è il sole già caldo che si nasconde dietro i nuvoloni. Puoi passeggiare sotto la pioggia sottile che in increspa i capelli e bagna le scarpe, ma non ti fredda. Ti accarezza. Si va a spasso con un enorme ombrello nero, il suo manico è una testa d'argento... di cane. Fa tanto chic. Tanto inglese, piuttosto, dice D. E si scoprono le vie della città, vie che già D. mi ha fatto conoscere, ma mi sorprendono sempre. In Via Giulia, quello che mi incanta è il silenzio, o meglio la quiete. Sei nel cuore di Roma e ti sembra di essere dall'altra parte del mondo.







Camminando ammiro la vetrina della solita piccola galleria in Via Dei Banchi Vecchi che stavolta aveva le riproduzioni di Vettriano. Ma l'avete mai visto un quadro di Vettriano, voi? Io l'ho scoperto perchè avevo due tazze bellissime - le ho ancora - e indovinate un pò, erano sue riproduzioni. Io, ora, non vorrei sbagliarmi ma credo che il nome sia Il Doppio Creativo. Comunque, val sempre la pena dare un'occhiata. E perdervi nei corsi di pittura e laboratori creativi che propongono, e che io non avrò mai il tempo di fare. La vita d'albergo, si sa, è 'na vitaccia e ti risucchia l'anima!




Girovagando, io e D., ci siamo imbattuti una chiesa, l'ennesima, l'ennesima bellissima chiesetta. Chiesa Santa Lucia del Gonfalone. Siamo entrati, come facciamo sempre. D. brontolava - per tutti i soldi rubati dalla Chiesa, e l'oro nei mosaici, e i marmi, e i cancelli chiusi, e i barboni fuori dai santi portoni - come fa sempre. Ma sapete cosa? A volte bisogna chiudere un occhio, uno solo, e godersi il bello che c'è attorno.



C’est qui m’étonne toujours du début du printemps, ce sont les dernières pluies si légères et si modérées qui n’arrivent même à te mouiller. Tes cheveux crépus, ils seulement, te disent que pour l’été il faut attendre encore. Donc, je vais me promener avec mon grand parapluie tout noir et argent. A la fin de la canne, on a en effet une poignée d’argent. Une tête de chien, plus exactement, qui me regarde de manière souriante. Le chien, il aussi, se moque du temps et de moi. Mais voilà, je suis toujours surprise par le silence de certaines rues de la ville. Fin, c’est plutôt une calme. Et puis les petits magasins d’artisans. Si anciens et petits que les rues.

Moi et D., souvent on s’arrête pour admirer la vitrine d’une galerie d’art qui fait de reproductions des œuvres d’art les plus variées, Il Doppio creativo. La dernière fois, on avait Jack Vettriano. Moi, chez ma grand-mère, j’ai une tasse de thé avec Le majordome chantante. Je l’adore.Je lisais, il y a quelque temps, qu’on pourrait faire de classes de peinture. Oh, je l’aimerais bien ! Mais, on le sait, la vie d’hôtellerie, elle t’aspire totalement.

En nous promenant, moi et D., nous sommes tombés dans une église. Une fois de plus, on l’a visité. Petite, tant que le reste, et charmante. Une fois de plus, D. se plaignait de la mauvaise gestion de l’argent du Vatican, des clochards qui dorment au-dehors de cette bâtisses impressionnantes ornés par des appliques et des mosaïques en or qui représentent la charité chrétienne et le sacrifice de Dieu.

Mais vous savez, parfois il faut fermer un œil, un œil seulement, et avec l’autre regardez la beauté qui vous entoure.





1 commento:

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